EN LIVE AVEC LES STARS !

Publié le par corsu61

Cette catégorie vous permet de découvrir les stars sous leur vrai jour, et non celui qu'elles veulent bien montrer par l'intermédiaire de leur agent, leur attaché de presse, ou leur prestation dans une émission de télévision.

Pour cela, profitant de mon expérience de plusieurs années dans le domaine de l'interview, je vous propose le récapitulatif des rencontres que j'ai pu avoir avec vos acteurs ou actrices préférés, et je vous joins les interviews correspondantes.

Tout vous est relaté, sans fard ni dissimulation, et sans aucune langue de bois. Vous allez découvrir que certaines stars sont loin de l'image que l'on veut donner d'elles, que ce soit en bien ou en mal.

N'hésitez pas à me laisser vos commentaires pour me relater vos impressions.... Alors
, bon voyage de l'autre côté du miroir...

Aujourd'hui :

JACQUES LEPORATI (TZEK)

JACQUES LEPORATI (TZEK)

Lundi 08 juin 2015. J'ai rendez-vous à 14 heures avec le comédien au "Café de la place", situé sur la place St Nicolas de Bastia.

Lorsque j'arrive, Jacques Leporati est déjà présent et m'attend en dégustant un petit café. Très affable, il me salue et me tutoie immédiatement. Je m'installe donc à sa table afin de commencer l'entretien. Durant toute l'interview (et même après), le comédien se montrera particulièrement sympathique, prompt à l'humour et à la répartie, très disponible et sans aucune langue de bois. En somme, tout à fait conforme à l'image que le public a de lui...

Je te remercie de me recevoir...

Mais je t'en prie.

Je voudrais que tu nous racontes ton parcours, depuis ta plus tendre enfance...

(Il réfléchit)...Depuis tout petit ? En fait, comme tous les enfants, je regardais des films de cape et d'épée ou des westerns et je m'identifiais aux héros. J'ai donc aimé ça très tôt et j'ai toujours adoré jouer la comédie

. Après, c'est à partir du collège ou du lycée que, si tu as vraiment la passion, tu décides de jouer au théâtre. Dans mon cas, c'est au collège que tout a commencé. Après, j'ai continué au lycée, quand j'étais sur Bastia. Il y avait l'Ecole Municipale d'Art Dramatique qui donnait des cours au théâtre 196. Je les ai donc suivis avant de partir faire mes études sur le continent, à Aix-en-Provence. Là bas, j'ai eu l'opportunité d'intégrer une troupe de théâtre amateur... Et comparé à mes études, j'ai choisi le théâtre.

Tu suivais quel type d'études ?

Histoire de l'Art. J'ai fait un Bac "Art plastiques et Histoire de l'Art". J'ai donc fait des études qui ne mènent à rien ! (Nous rions), à part professeur d'histoire de l'Art en Faculté ou travailler dans des musées, et ça, ce n'est pas mon truc ! Mais bon, quand tu es jeune, tu ne réfléchis pas trop... (Il rit).

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C'est donc lors de tes études que tu t'es aperçu que cette voie n'était pas pour toi...

Ce n'est pas que cela n'était pas pour moi, car ça m'intéressait quand même ! La preuve, j'ai continué jusqu'à la Maîtrise. Mais en fait, comme nous avons eu l'opportunité de faire du théâtre, avec Eric Fraticelli (Pido), nous avons enchaîné sur les duos.

Tu dis "On". Mais je crois savoir que c'est toi qui est à l'origine du duo...

Oui... et non. En fait, nous avions besoin d'un comédien pour jouer un rôle au sein de la troupe. Comme Eric aimait bien déconner tout le temps et faire "le show", je lui ai proposé de venir voir comment ça se passait. Il est donc venu et on lui a proposé le rôle. Ca lui a plu et, du coup, il a continué au sein de la troupe. On a ensuite joué beaucoup de spectacles de théâtre classique : Molière, Sacha Guitry, etc...

Dans le même temps, nous avons eu l'envie d'écrire pour nous et de monter notre propre spectacle. Ca tombait bien parce que cela coincidait avec la fin de nos études ! On a donc joué ce spectacle, en mai 1995. Il devait, à l'origine, durer une heure et demie mais il a en fait duré deux heures et demie ! Nous étions accrocs, les gens étaient contents et du coup, on ne voulait plus sortir de scène ! (Il rit).

Donc, si je comprends bien, vous étiez, l'un comme l'autre, plutôt orientés vers le théâtre classique. Qu'est-ce qui vous a fait prendre le chemin de la comédie ?

C'est tout bête. Nous avions simplement envie de rire ! On s'est vite aperçu que, sur scène, quand nous avions des répliques ensemble, il y avait quelque chose qui se passait. Même si les personnages que nous interprétions n'étaient pas forcément complémentaires... Les gens riaient et nous, ça nous amusait. On s'est donc dit : "Et si on faisait un sketch ?"... un, puis deux... et notre duo est né comme ça. On est donc passé du classique à la connerie... (Nous rions)... pardon, à la comédie, de cette façon là !

Un extrait du célèbre duo...

Quelles sont tes références en matière de comédie ?

Je n'ai pas vraiment de références comiques mais j'ai des goûts très variés. Je suis fan de certains spectacles de Gad Elmaleh, Albert Dupontel ou Elie Kakou.

En fait, cela dépend du personnage que tu crées. Mon personnage de "Tzek" s'est construit petit à petit, au fil des années et des spectacles. Au début du duo, il était vraiment brut et il s'est ensuite affiné. D'ailleurs, tout était brut ! Nous formions un duo avec un fort, un faible, un machiavélique, un benêt, et, au fur et à mesure que le spectacle avançait, cela s'équilibrait. Jusqu'au dernier spectacle dans lequel les deux personnages étaient de poids égal.

"Pido" me confiait que vous fonctionniez sur le principe du clown blanc et de l'auguste...

Effectivement, c'était le postulat du début. Et puis, lentement, cela a évolué sans qu'on réfléchisse à nos personnages. Moi, ça ne me dérangeait pas d'être ridicule sur scène, de faire l'idiot, celui qui se fait berner. Eric, quant à lui, aimait bien jouer celui qui roule des mécaniques et qui est hyper nerveux...

L'osmose s'est donc faite comme ça...

Voilà. Quand tu écris tes spectacles et que tu commences à bien connaître ton personnage, tu sais exactement où tu vas l'emmener, quel sketch va le mieux correspondre à l'un ou à l'autre. Tu sais si l'alchimie va fonctionner. C'est un travail qui se fait sur des années... Nos personnages de "Tzek et Pido" n'ont pas été écrits et ensuite joués. On les a d'abord joués et ils se sont ensuite dessinés, puis affinés.

Quel est ton sketch préféré ?

Je n'en ai pas. Je me suis pratiquement éclaté dans tous ! Il y a même des sketchs, qui ne sont pas dans les DVD, dans lesquels on a improvisé et où nous sommes partis "en live"... Ces moments ont été exceptionnels ! Alors, je ne retiens que le fait d'avoir pris mon pied... Franchement, si je devais sortir un sketch du lot, j'en serais incapable.

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Lequel des deux faisait le plus rire l'autre ?

(Il réfléchit) Ca dépendait des fois. Cela dépendait également de l'état d'esprit de la soirée... L'un comme l'autre, nous étions capables de faire rire l'autre en le surprenant...

Il y avait beaucoup d'improvisation ?

Quelquefois. Pas tout le temps, mais ça arrivait. Tu sais, nous étions pratiquement toujours ensemble, alors ça aidait à trouver des trucs. Par exemple, quand on déjeunait ensemble, l'un des deux pouvait sortir une connerie et il voyait que cela amusait l'autre. Aussitôt, il se gardait le gag dans sa poche pour pouvoir le ressortir plus tard, sur scène...

Tu fais partie de ces comédiens qui observent beaucoup, comme maintenant sur cette terrasse, et scruptent autour d'eux afin de noter des tics, des comportements...

Oui. C'est même devenu une habitude. Il faut savoir que les premiers jets de nos sketchs étaient écrits dans les cafés. Aujourd'hui encore, il m'arrive d'être attablé et d'entendre une discussion à la table à côté qui va m'inspirer.

Dans votre duo, l'écriture était également à 50/50 ?

Oui.

En fait, il n'y a jamais eu de vrai leader ?

Non. Et on a toujours fonctionné comme ça. Le leader, c'était le duo.

Ok. Aujourd'hui, tu te produis seul sur scène. Même avec toutes ces années d'expérience, qu'est ce qui peut te gêner dans un spectacle ?

(Il réfléchit)... Ce qui me gênait vraiment au début, c'étaient les bruits, genre sonnerie de téléphone etc... Après, tu finis par intégrer ça au spectacle. L'avantage avec un spectacle comique, c'est que tu peux presque tout te permettre...

Cela ne te déstabilise pas ?

Non. Sauf s'il y a un incendie ! (Nous rions).

Tu mets ça sur le compte de la concentration ou sur le fait d'être beaucoup plus cool...

Les deux ! La concentration aide lorsque tu entends un bruit incongru que tu ne peux pas règler, genre un problème de micro ou un klaxon. Dans ce cas là, tu continues comme si de rien n'était. Mais en général, tu es cool car tu ne joues pas du Shakespeare ! En plus, il n'y avait pas de voitures à l'époque, alors niveau klaxons, on est tranquille ! (Nous rions).

Dans le film d'Alain Berberian, "L'enquête Corse", avec Christian Clavier et Jean Reno, tu es le seul à tenir deux rôles, un autonomiste et un commercant...

Tout à fait. Et en plus, le second (le gérant du magasin de chaussures) était pratiquement bénévole.

Je l'ai fait pour rendre service. On m'a dit qu'il manquait quelqu'un pour faire la voix off, j'ai répondu présent.

Je dois t'avouer que j'ai également vu 50 fois la scène de la réunion entre autonomistes. Celle dans laquelle tu as cette fameuse réplique : "Il nous faut définir une position commune sur la question de la violence...Nous condamnons la violence...mais pas les auteurs !"

(Il rit) Un classique !

Qui a écrit ces dialogues ?

C'est Michel Delgado. Auteur également du scénario.

On doit toujours t'en parler...

Effectivement !

Ajourd'hui, pourquoi te fais-tu plus rare au cinéma ?

En fait, c'est un choix de vie, dû à plusieurs facteurs. Tout d'abord, malgré ce qu'on en dit, c'est un métier où il faut être sur Paris 95 % du temps. C'est plus facile pour décrocher un contrat, recontrer des gens, aller dîner avec Machin qui connaît Chose... C'est un métier dans lequel le relationnel est important. En ce qui me concerne, je n'avais plus envie de ce style de vie. En plus, j'avais repris la scène en solo...

C'est un métier dans lequel il faut plaire et être constamment en mode séduction. Des fois, il faut être à la limite de l'hypocrisie. Plutôt que passer par la voie normale des castings, tu vas déjeuner avec Untel qui connait le producteur... Moi, je n'aime pas faire des courbettes et ça me casse les pieds !

Ensuite, j'avais envie de rester en Corse. Alors pourquoi ne pas continuer mon spectacle ici, et si jamais il y a des castings sur l'île, et si on m'appelle, y aller...

Tu ne vas pas à la pêche aux rôles ?

Non. Ca ne m'intéresse pas. Ca ne m'intéresse plus.

C'est la mauvaise expérience sur Canal + qui t'a échaudé ?

(Il réfléchit) Non, ce qui est fait est fait. Et puis, c'était du bon ! En fait, je n'ai pas eu envie de continuer cette démarche d'acteur, rester sur Paris, etc... En ce qui concerne Canal +, ça nous est tombé dessus par hasard. Peut-être qu'à un moment donné, on aurait pu exploiter un filon Canal + et s'intégrer à la chaîne, mais on avait, à l'époque, d'autres ambitions et d'autres intérêts.

En résumé, tu n'es pas prêt à tout pour ta carrière ?

Non. A un moment donné, nous avons, Eric et moi, rencontré le directeur de Sony France pour la vidéo. On avait également un producteur, Pascal Guillaume, qui est directeur du théâtre Tristan Bernard, ainsi que notre propre agent. Nous avions l'opportunité de partir en tournée dans la France entière et de s'arrêter sur Paris pour y jouer quelques mois. Malheureusement, Eric avait d'autres projets. Quand on est en duo, il faut respecter les envies de chacun, alors ça ne s'est pas fait.

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Eric n'était donc pas pour...

Disons qu'il était moins chaud. On a donc laissé tomber. De plus, nous avions notre carrière en Corse qui se déroulait très bien !

Ici, tu n'as pas à courir comme ceux qui font des one-man-show dans la capitale. Là bas, tu cours les cachets, tu fais un grand nombre de spectacles, tu t'épuises. Nous, on avait eu une expérience comme ça, au Palais des Glaces à Paris. Nous sommes restés de septembre 1999 à février 2000 ! Nous avons donc été confrontés à la réalité du monde du spectacle sur Paris ! C'est à dire qu'au début, nous avons contacté les associations et les radios corses... On a fait tout ce qu'on pouvait pour faire venir du monde ! Il faut savoir que quand tu n'es pas connu, sur Paris, tu traînes... tu traînes...

Dans notre cas, tout a commencé à prendre de l'ampleur quand, malheureusement, nous avons été obligés d'arrêter parce que la salle était réservée... Mais ça a été une expérience ! Pour rencontrer un public qui n'est pas corse, tu dois adapter ton spectacle. Pour cela, nous avons, à l'époque, travaillé avec Gad Elmaleh. C'était notre directeur artistique. Il a travaillé avec nous et modifié certains sketchs. Ca aussi, ça a été une belle expérience parce que ça nous a fait rencontrer pas mal de gens dont Michel Delgado dont je t'ai parlé plus avant, et avec lequel nous sommes restés en très bons termes.

Finalement, on s'est dit qu'on était bien chez nous et nous n'avons pas voulu persévérer dans cette voie.

Vous vous êtes séparés en quelle année ?

(Il réfléchit longuement)... 2005.

Cela fait donc dix ans que le duo "Tzek et Pido" n'existe plus. Et pourtant, vous êtes toujours une légende en Corse...

Les gens continuent d'en parler, effectivement...

Pas de fausse modestie !! Les DVD continuent à marcher, le public continue à rire et cela touche même la nouvelle génération ! Il suffit d'observer les regards des gens qui te croisent dans la rue pour prendre conscience de ta notoriété. Alors, forcément, la question se pose : existe-t-il une chance pour que votre duo se reforme un jour ?

Et je réponds ce que je réponds chaque fois qu'on me le demande : "Ce n'est pas à l'ordre du jour". J'ai mes projets, Eric a les siens et chacun a pris sa route. Cependant, pourquoi pas ? Mais... (Il fait la moue)

C'est mal parti...

Vu les parcours que nous avons actuellement, cela semble compromis.

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Vous etes conscients du carton que ça ferait ?

Sans doute.

Pas de langue de bois !

Non !! Quand je dis sans doute, c'est SANS doute ! Sans aucun doute !

J'aime mieux ça ! (Je souris)... Quels sont tes projets ?

J'ai un projet audiovisuel, pour la télé, dont je ne peux pas te parler à ce jour. C'est trop tôt.

Ok, je respecte.

Comprends moi. Ce n'est pas par superstition mais tant que rien n'est signé, je n'en parle pas.

Aucun souci. Je change donc de sujet... Que ne supportes-tu pas dans la vie de tous les jours ?

(Il souffle en souriant)... Pffff... Je suis blasé ! (Nous rions).

Blague à part, je ne supporte pas l'hypocrisie ! C'est tellement simple de dire les choses... Si je n'ai pas envie de travailler avec toi, je te dis en face : "je n'ai pas envie de travailler avec toi". C'est plus simple que d'être hypocrite. Quand on est victime de l'hypocrisie, ça fait toujours mal. C'est peut-être aussi pour cela que je ne veux plus rester dans le monde du cinéma...

Pour ma part, rares ont été les gens rencontrés dans le métier qui m'ont dit : "Je vais te faire jouer dans mon film", et qui ont tenu parole. J'en connais quelques uns, mais ils sont rares.

En fait, tu rencontres beaucoup de gens qui te disent : "Wahoo, tu joues super bien !"

 

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Ils te couvrent d'éloges mais il ne te prennent pas pour le rôle ! (Il rit)... En fait, pour éviter d'être décu et de souffrir dans ce métier,  il faut faire comme a dit Jean-Jacques Annaud : "Je m'attends toujours au pire de la part des gens. Et si, finalement, ils sont sympas, alors je les trouve géniaux". Il a déclaré ça à propos de sa propre carrière... Premier film superbe, immense succès, tout le monde a crié au génie. Deuxième film moyen et là, plus personne ! Plus de contact. Il envoyait des scénarios et personne ne le rappelait. C'est alors qu'il a réalisé un nouveau film : "Le nom de la rose", et il a rencontré à nouveau le succès. Et d'un coup, le téléphone a de nouveau sonné...

Il faut donc ne rien attendre des gens, et si finalement, ça arrive, c'est super.

Toi qui es un fou de théâtre, ne serais-tu pas tenté par le fait de fonder une école ?

(Il réfléchit puis souffle...) Tu sais, les gens me demandent souvent si je donne des cours. Et je réponds que non. Je peux donner des conseils, mais de là à donner des cours... Il y a une différence entre les deux. Suis-je assez pédagogue pour donner des cours ? Serais-je assez compréhensible dans mes indications de mise en scène ? Donner des cours de théâtre, c'est très particulier !

Maintenant, avec le recul que j'ai par rapport à ma carrière et le fait que je voie les choses différemment, cela serait peut-être possible. Il est vrai que c'est toujours intéressant d'enseigner et de partager une passion.

Je vais terminer par une question très sérieuse (Je souris)... Humoriste connu et reconnu... Ca facilite les choses auprès du public féminin ?

(Il rit et me jette un regard malicieux) C'est une légende !

Merci beaucoup de m'avoir accordé ce moment fort sympathique.

Mais je t'en prie.

Reportage photo réalisé par Erica Lavalle

Reportage photo réalisé par Erica Lavalle

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V
Je suis très heureuse de lire cette interview qui confirme que je ne me suis pas trompée sur ce comédien... Jacques Leporati est un homme charmant et adorable !<br /> J'adore ses spectacles, et j'espère sincèrement qu'on le retrouvera bientôt, peut-être pour un nouveau spectacle, ou sur le petit ou grand écran ??<br /> Encore merci Corsu et à bientôt pour lire la prochaine interview :-)
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Q
Une interview qui fait du bien ! J'ai avalé le texte ! Il faut dire que je connais déjà Jacques Leporati et j'adore son sourire et sa bonne humeur qui sont communicatifs. <br /> Je dois avouer que j'avais peur d'être déçu par la réalité comme on a pu le voir concernant d'autres acteurs, mais il est apparemment à la vie comme à la télé ! Je le suivrai donc avec d'autant plus de plaisir.
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E
Encore une interview sympa, sans chichi et sans comportement de star ! Merci à Corsu pour ce bon moment et Merci à Mr Leporati pour sa disponibilité et sa gentillesse. J'ai beaucoup ri en regardant le sketch et je vais regarder si on peut se procurer un DVD par chez nous (Loire-atlantique)...
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B
Je vous connaissais pas M. Jacques Leporati juste vous dire que votre Simplicité et votre Sincérité me touche beaucoup. j'ai visualisé votre sketch, qu'est ce que j'ai ri! Merci mille fois Maxou pour cet super d'interview, au top<br /> Bravo pour les photos.
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C
Super interview, comme d'habitude ! Et une mention spéciale pour les photos : bravo à la photographe :-)
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