LES DISPARUS DE SAINT-AGIL



Peu de temps avant la première guerre mondiale,
dans un collège de la petite ville de Meaux. Mathieu Sorgues, André
Baume et Philippe Macroy sont pensionnaires au collège de Saint-Agil.
Ils ont fondé depuis trois ans une société secrète, les Chiche-Capon,
qui a pour siège la classe de science et pour unique témoin le
squelette Martin. Les Chiche-Capon ont un rêve: s'enfuir un jour aux Etats-Unis pour y vivre une vie d'aventuriers.
Et voilà qu'un jour Mathieu Sorgues disparaît. A-t-il réalisé leur rêve ? C'est ce qu'il paraîtrait lorsque Philippe Macroy reçoit une carte postale de Chicago. Mais André se montre sceptique: pourquoi Mathieu est-il parti seul, sans même prévenir ses amis ? Et pourquoi la carte ne lui est-elle pas également adressée ? D'autres anomalies encore semblent lui donner raison. Mais alors, où est passé Mathieu ? Philippe ne peut plus rester les bras croisés lorsque André disparaît à son tour, et il décide de mener sa propre enquête...
Ma critique : Un des grands classiques du cinéma français. Réalisé par Christian-Jaque, ce thriller des années 30 a certes vieilli, mais il garde tout son cachet. L'ambiance noire et glauque des pensions pour garçons de l'époque est parfaitement restituée, et le mystère qui entoure les disparitions rend cette intrigue passionnante. La distribution comportant Erich Von Stroheim (La grande illusion, Boulevard du crépuscule), Michel Simon (La beauté du diable, La poison) et Robert Le Vigan (La charrette fantôme, L'assassinat du père Noël) est excellente, et l'interprétation des jeunes garçons tout à fait correcte pour l'époque. Tout l'intérêt réside dans cette atmosphère glaciale qui règne dans les dortoirs et dans les couloirs de cet établissement dans lequel on en vient à soupçonner tout le monde. Evidemment, ce long métrage est loin d'être resté aussi terrifiant qu'à l'époque, mais il demeure un grand souvenir pour les anciens, et peut même encore donner quelques angoisses aux plus jeunes.
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Date de sortie en France : 26 avril 1938
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Date de sortie en DVD : 15 novembre 2006
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Pour visionner un extrait : CLIQUEZ ICI !!!
Et voilà qu'un jour Mathieu Sorgues disparaît. A-t-il réalisé leur rêve ? C'est ce qu'il paraîtrait lorsque Philippe Macroy reçoit une carte postale de Chicago. Mais André se montre sceptique: pourquoi Mathieu est-il parti seul, sans même prévenir ses amis ? Et pourquoi la carte ne lui est-elle pas également adressée ? D'autres anomalies encore semblent lui donner raison. Mais alors, où est passé Mathieu ? Philippe ne peut plus rester les bras croisés lorsque André disparaît à son tour, et il décide de mener sa propre enquête...
Ma critique : Un des grands classiques du cinéma français. Réalisé par Christian-Jaque, ce thriller des années 30 a certes vieilli, mais il garde tout son cachet. L'ambiance noire et glauque des pensions pour garçons de l'époque est parfaitement restituée, et le mystère qui entoure les disparitions rend cette intrigue passionnante. La distribution comportant Erich Von Stroheim (La grande illusion, Boulevard du crépuscule), Michel Simon (La beauté du diable, La poison) et Robert Le Vigan (La charrette fantôme, L'assassinat du père Noël) est excellente, et l'interprétation des jeunes garçons tout à fait correcte pour l'époque. Tout l'intérêt réside dans cette atmosphère glaciale qui règne dans les dortoirs et dans les couloirs de cet établissement dans lequel on en vient à soupçonner tout le monde. Evidemment, ce long métrage est loin d'être resté aussi terrifiant qu'à l'époque, mais il demeure un grand souvenir pour les anciens, et peut même encore donner quelques angoisses aux plus jeunes.
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Date de sortie en France : 26 avril 1938
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Date de sortie en DVD : 15 novembre 2006
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