HURT

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Helen Coltrane est une mère de famille dont le mari est décédé dans un accident de la route. Recueillie ainsi que ses deux enfants par son beau-frère Darryl, secrètement amoureux d'elle, elle tente de se ressourcer et de reprendre pied. Darryl les emmène dans la casse qu'il tient dans le désert et tente de s'adapter à une nouvelle vie en compagnie des enfants d'Helen : Lénore et Conrad. Mais un troisième enfant, placé chez Helen par les services sociaux, va venir perturber le fragile équilibre de cette nouvelle famille : Sarah. Cette dernière, fraîchement arrivée, va faire coincider d'étranges évènements, tous plus tragiques les uns que les autres...

Ma critique : Sur une trame déjà traitée, la réalisatrice Barbara Stepansky tente de nous faire adhérer à une histoire dont on pressent immédiatement les ficelles. Ces dernières, grosses comme de la corde à piano, sont inévitables et sautent aux yeux bien avant le déroulement des évènements. Le rythme est faible, sans grand relief, et il n'y a guère que la présence du jeune Jackson Rathbone (Twilight - chapitre 1 : fascination, Le dernier maître de l'air) pour nous sortir de la torpeur dans laquelle nous sommes plongés dès la fin du premier quart d'heure. Le spectacle est relativement mou, et les seules scènes d'action qui valent le déplacement sont amputées des moments clés. Pratiquement aucune tension visuelle ne vient donner une quelconque nervosité à cette sorte de huit-clos (90 % de l'histoire se passe dans la casse), et dès lors que l'on a deviné (et ce n'est pas bien difficile) qui fait quoi, il ne nous reste plus qu'à regarder la suite défiler sans grand intérêt. Un film que vous pouvez soigneusement éviter, à moins d'être coincés chez vous par un temps gris et pluvieux.

Date de sortie aux Etats-Unis : 10 novembre 2009 (sortie directe DVD)

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Publié dans DRAME

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la réalisatrice Barbara Stepansky tente de nous faire adhérer à une histoire dont on pressent immédiatement les ficelles. Ces dernières, grosses comme de la corde à piano, sont inévitables et sautent aux yeux bien avant le déroulement des évènements. Le rythme est faible, sans grand relief, et il n'y a guère que la présence du jeune Jackson Rathbone (Twilight - chapitre 1 : fascination, Le dernier maître de l'air) pour nous sortir de la torpeur dans laquelle nous sommes plongés dès la fin du premier quart d'heure. Le spectacle est relativement mou, et les seules scènes d'action qui valent le déplacement sont amputées des moments clés.
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