(500) JOURS ENSEMBLE (500 days of Summer)



Tom croit encore en un amour qui transfigure, un amour à la destinée
cosmique, un coup de foudre unique. Ce qui n'est pas du tout le cas de
Summer. Cela n'empêche pourtant pas Tom de partir à sa conquête, armé de
toute sa force et de tout son courage, tel un Don Quichotte des temps
modernes. La foudre tombe le premier jour, quand Tom rencontre Summer la
nouvelle secrétaire de son patron, une belle jeune fille enjouée.
Au 31ème jour, les choses avancent, lentement. Le 32ème jour, Tom est irrémédiablement conquis, pris dans le tourbillon étourdissant d'une vie avec Summer. 185 jours après leur rencontre, la situation est de plus en plus incertaine mais pas sans espoir. Alors que l'histoire fait des allers-retours au sein de la relation parfois heureuse, mais souvent tumultueuse de Tom et Summer, le récit couvre tout le spectre de la relation amoureuse, du premier coup de coeur aux rendez-vous, du sexe à la séparation, de la récrimination et à la rédemption et décrit toutes les raisons qui nous poussent à nous battre aussi ardemment pour arriver à trouver un sens à l'amour... Et, avec un peu de chance, à en faire une réalité.
Ma critique : Tout d'abord, ce joli long métrage s'appuie sur une réussite incontestable : sa bande originale. Hétéroclite, elle compte parmi ses interprètes des groupes comme The Smiths, Simon and Garfunkel, The Doves, Black Lips, mais aussi des chanteurs seuls comme Patrick Swayze ou Carla Bruni. C'est aussi l'histoire d'une question que chacun de nous se pose à un moment donné de sa vie : faut-il croire à l'existence du destin ou tout n'est-il que le fruit du pur hasard ? Fort de ces questions, le spectateur se promène dans ce film en profitant du talent indéniable de Joseph Gordon-Levitt (The Lookout, G.I. Joe le réveil du Cobra) et de la fraiche et magnétique Zooey Deschanel (Yes Man, Phénomènes). Entre déchirures et réconciliations, l'évolution de la relation entre deux êtres profondément différents se fait petit à petit, tout en finesse et en délicatesse. Nourri de flashbacks, "500 days of Summer" contient quelques scènes vraiment réussies, notamment une qui, l'écran coupé en deux, nous montre d'un coté ce que Tom désirerait, et de l'autre ce que la réalité lui donne... C'est varié, sympathique, en aucune façon larmoyant ni gentillet, et la fin si jolie soit-elle ne peut empêcher le spectateur de se rappeler que l'amour n'est pas toujours rose...
Pour info : préférez la version originale sous-titrée
Date de sortie en France : 30 septembre 2009
Date de sortie en DVD : 17 mars 2010
Bande-originale : CLIQUEZ ICI !!!
Au 31ème jour, les choses avancent, lentement. Le 32ème jour, Tom est irrémédiablement conquis, pris dans le tourbillon étourdissant d'une vie avec Summer. 185 jours après leur rencontre, la situation est de plus en plus incertaine mais pas sans espoir. Alors que l'histoire fait des allers-retours au sein de la relation parfois heureuse, mais souvent tumultueuse de Tom et Summer, le récit couvre tout le spectre de la relation amoureuse, du premier coup de coeur aux rendez-vous, du sexe à la séparation, de la récrimination et à la rédemption et décrit toutes les raisons qui nous poussent à nous battre aussi ardemment pour arriver à trouver un sens à l'amour... Et, avec un peu de chance, à en faire une réalité.
Ma critique : Tout d'abord, ce joli long métrage s'appuie sur une réussite incontestable : sa bande originale. Hétéroclite, elle compte parmi ses interprètes des groupes comme The Smiths, Simon and Garfunkel, The Doves, Black Lips, mais aussi des chanteurs seuls comme Patrick Swayze ou Carla Bruni. C'est aussi l'histoire d'une question que chacun de nous se pose à un moment donné de sa vie : faut-il croire à l'existence du destin ou tout n'est-il que le fruit du pur hasard ? Fort de ces questions, le spectateur se promène dans ce film en profitant du talent indéniable de Joseph Gordon-Levitt (The Lookout, G.I. Joe le réveil du Cobra) et de la fraiche et magnétique Zooey Deschanel (Yes Man, Phénomènes). Entre déchirures et réconciliations, l'évolution de la relation entre deux êtres profondément différents se fait petit à petit, tout en finesse et en délicatesse. Nourri de flashbacks, "500 days of Summer" contient quelques scènes vraiment réussies, notamment une qui, l'écran coupé en deux, nous montre d'un coté ce que Tom désirerait, et de l'autre ce que la réalité lui donne... C'est varié, sympathique, en aucune façon larmoyant ni gentillet, et la fin si jolie soit-elle ne peut empêcher le spectateur de se rappeler que l'amour n'est pas toujours rose...
Pour info : préférez la version originale sous-titrée
Date de sortie en France : 30 septembre 2009
Date de sortie en DVD : 17 mars 2010
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